lundi 22 juin 2009

La dalle de la maison

Avant de commencer l’ossature de la dalle, nous avons isolé le soubassement du mur, avec des plaques de liège de 4 cm d’épaisseur, afin d’éviter tout pont thermique à ce niveau. Une fois la structure de la dalle posée, il nous faudra protéger le bas avec un enduit chaux / sable.




Hors mis cette difficulté de l’intégration d’une courbe dans la structure, le principe reste le même que pour la dalle de l’atelier.
Les poutres principales sont des contrecollées 2 plis de section 240/100, qui font quand même 13.90 m de long. J’ai donc dû les découper, car même si Erdal m’a aidé pour les déplacer, il a bien fallu trouver un moyen de les manipuler.


La structure repose sur vingt pieds de poteaux PPUP 90 de chez Simpson Strong-Tie qui supportent 51 kilos newton à la compression (données fournies par le bureau d’étude de Simpson, un simple coup de fil suffit !) soit 5.2 tonnes, ce qui fait une charge maxi de 104 tonnes pour la maison. J’ai estimé le poids de la structure totale à moins de 50 tonnes, ce qui nous laisse une marge très, mais alors très confortable.



détail d'un assemblage





Ensuite viennent les traverses 220/45 tous les 40 cm, posées sur des carrelés 50/50, puis pointées. Je commence à apprécier l’achat du cloueur pneumatique…









jeudi 4 juin 2009

Sous-dalle de la maison

Ça y est, c’est parti pour la maison !!



Nous avons étendu une bâche de paillage sur toute la surface (hors appentis, car je n’ai pas encore tiré les gaines jusque là), qui est moins cher et tout aussi performant que le géotextile, afin d’éviter à la végétation de pousser sous la dalle.






Par-dessus nous avons étalé du gravier sur une épaisseur d’environ 4 cm, sur une surface d’à peu près 100 m², soit : si je prends 4 que je retiens 6 multiplié par racine carrée de l’age du capitaine, sachant que sont train part à 10h45 et fait deux arrêts en prenant en compte le débit de l’eau…. Bref : 4m3 de gravier et le tout à la pelle à main !!








W-End du 1er juin: bardage de l'atelier

Voici le fruit de quatre jours de travail.
















Un jour par face, pour poser ce bardage à recouvrement, ce qui évite d'avoir les pointes visibles et surtout permet de mettre des pointes galvanisées qui sont cinq fois moins chers.


Merci à Ludo, notre voisin, qui nous a soudé la gouttière, récupérant de ce fait les catastrophes de mes essais…









Du coup, nous avons acheté un récupérateur d’eau.








Ah ? … y’avait une surprise dedans !!