vendredi 29 mai 2009

Petit résumé de ces derniers jours.

Je pensais donc profiter de la présence de mes parents, pour barder avec mon père. J’avais donc préalablement peint les huisseries et les pare closes avec une peinture écologique bien sûr ! Tout était prêt pour recevoir le bardage.








C’était sans compter sur mon manque d’anticipation sur la pose de ce dernier. J’avais prévu de mettre des planches brutes de douglas horizontalement avec un recouvrement de deux centimètres, mais voilà ; leur épaisseur (25 mm) était trop importante par rapport aux débords de toiture. Je pensais donc tout naturellement faire une feuillure sur chaque planche. Jusque là rien d’imprévu. C’est le temps de réalisation de toutes ces feuillures que je n’avais pas estimé !!!
Mon conseil pour mettre un bardage brut le plus simplement est de le prévoir vertical avec des couvres joints, mais dans mon cas ça ne règle pas le problème d’épaisseur.

Bien décidé à ne pas y passer des jours et des jours – et je passe sur toutes les solutions trouvées qui engendraient d’autres problèmes - mon fournisseur (Letouze à Lorient) étant bien arrangeant : reprise des planches brutes et livraison d’un bardage classique. Le surcoût ne devrait pas être dommageable.



Nous avons donc fait un peu de jardinage.










Et refait les boutures de sédum hors sol, sur une bâche de paillage déroulée sur des planches posées sur palettes. Cette fois nous avons mélangé à la pouzzolane du terreau, afin d’éviter au maximum la présence des mauvaises herbes présentes dans la terre du jardin.






Mardi arrivée du bardage. Mercredi arrivée du cloueur.



Oh pétard !!






Hier j’ai donc attaqué la face sud.









Aujourd’hui, grand beau temps, je vais en profiter pour continuer !



mercredi 13 mai 2009

ouvertures, dalle et terrasses de l'atelier

Je sais, je sais encore trois semaines de silence,…, mais bon je coupais du bois m’sieurs dames ! On m’avait bien prévenu qu’être assidu à tenir ce genre de blog n’était pas toujours évident.

Bon, où en étais-je ? … Ah oui !

Donc une fois le tout contreventé et le pare pluie posé, je me suis attaqué aux ouvertures et huisseries. Toutes les fenêtres sont des châssis fixes au nombre de 6 (dont deux doubles), quant aux ouvertures, il s’agit d’une porte de type garage à quatre vantaux et d'une porte de service. Le tout a été acheté d’occas via petites annonces, pour la modique somme de 140 €.
La pose n’est pas très délicate, il suffit de toujours avoir en tête le chemin que prendra l’eau en ruisselant.

Voilà comment j’ai procédé :

Dessus et cotés (vue de dessus).



Bas de fenêtres (vue de côté).
Et voici le résultat !




Une fois hors d’eau et hors d’air, j’ai pu isoler et fermer la dalle.

Des dalles d’OSB classe 4 de 10 mm sont posées sur les lames de parquet (cf. message de fabrication de l’ossature de dalle), entre les solives. Ensuite il n’y a plus qu’à répandre la ouate de cellulose et fermer avec des plaques d’OSB bouvetées de 16 mm.













Comme le chantier devrait être assez long, nous voulions aménager et rendre agréable cette partie du terrain. Nous nous sommes donc attelés à niveler et remblayer la partie basse avec quelques 4 m3 de terre (mon dos s’en souvient !). Il faut dire qu’une fois la tranchée pour la gaine électrique creusée, j’étais chaud !






Souhaitant que le dessous de la dalle reste bien ventilé, nous n’avons pas remblayé en périphérie, j’ai donc fabriqué deux petites terrasses d’accès.







Nous trouvons que cela confère à ce lieu un petit air de cabane suspendue.






Et sinon ?

Et sinon les maçons ont fini le soubassement du mur avec deux rands de parpaings, soit une épaisseur de 40 cm, sur deux hauteurs. Le terrassier a ensuite remblayé le tout pour ne laisser qu’une dizaine de centimètres de piliers dépasser.



Bientôt le bardage, dès que mon papa sera là !!